Hyperconnectivité : objets, hommes, organisations

0,00

Difficile, dans notre monde, de ne pas être du tout connecté.
Même sans le vouloir. De plus il y a un certain ostracisme des non-connectés, considérés comme ignorant les progrès. Il est bien d’être également branchés, à tous les courants de pensée, à l’actualité brûlante, d’avoir son réseau actif… Il faut donc se connecter : ne pas être déconnecté, être dans le monde !
Edgar Morin, dans son long parcours de recherche systémique aboutit à l’idée que pour qu’un système soit “intelligent”, pour
évoluer positivement dans un monde complexe, tout doit être “relié, relié toujours” !
Se connecter : c’est souvent juste avant de s’engager, comme on dit, en vocabulaire commun, qu’on “se branche” avec quelqu’un avant d’aller plus loin. Se brancher, ce peut être le premier pas volontaire, poussé par la pulsion amoureuse ou par l’instinct grégaire, permettant de sortir de soi, de sa bulle. On essaie de se brancher sur une nouvelle culture, ou vers une nouvelle relation !
Mais ensuite, cela va-t-il être le bonheur ou une prison de plus ?
Les connexions vont-elles être des enfermements ou des espaces de liberté ? Comment trouver les bons équilibres, dans notre temps, toujours contraint ?

Auteur: Jean-François David     6 pages     Parution: Transversus 9

Description

Difficile, dans notre monde, de ne pas être du tout connecté.
Même sans le vouloir. De plus il y a un certain ostracisme des non-connectés, considérés comme ignorant les progrès. Il est bien d’être également branchés, à tous les courants de pensée, à l’actualité brûlante, d’avoir son réseau actif… Il faut donc se connecter : ne pas être déconnecté, être dans le monde !
Edgar Morin, dans son long parcours de recherche systémique aboutit à l’idée que pour qu’un système soit “intelligent”, pour
évoluer positivement dans un monde complexe, tout doit être “relié, relié toujours” !
Se connecter : c’est souvent juste avant de s’engager, comme on dit, en vocabulaire commun, qu’on “se branche” avec quelqu’un avant d’aller plus loin. Se brancher, ce peut être le premier pas volontaire, poussé par la pulsion amoureuse ou par l’instinct grégaire, permettant de sortir de soi, de sa bulle. On essaie de se brancher sur une nouvelle culture, ou vers une nouvelle relation !
Mais ensuite, cela va-t-il être le bonheur ou une prison de plus ?
Les connexions vont-elles être des enfermements ou des espaces de liberté ? Comment trouver les bons équilibres, dans notre temps, toujours contraint ?

Auteur: Jean-François David     6 pages     Parution: Transversus 9

 

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Hyperconnectivité : objets, hommes, organisations”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

X